• PEDOPHILIE A BORDEAUX : LE TEMOIGNAGE DE MADAME Patricia POUPARD

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    J’amène mon fils au CHR de Bordeaux, l’œil abîmé, une bosse sur le front. Son père me dit qu’il est tombé du toboggan au parc bordelais. Son demi-frère, Pierre-Alexandre, était avec eux, pendant que je travaillais. Les médecins n’ont rien dit. J’ai cru à cette version sur le moment, mais je pense que mon fils a été battu et à partir de ce jour, je ne l’ai plus laissé seul avec son Père. De plus sur la table de salon, un drôle de yoyo est posé. Dés années plus tard, je saurais ce que sais.

    Nous prennons nos vacances à Pezenas au mois d’août. La maman de Pierre-Alexandre, qui était venue à Bordeaux voir un industriel, passe à Pezenas, mais je ne la vois pas. Ma soeur me dit au téléphonne de faire attention à mes verres.

    Tout va comme ça peut aller, jusqu’à ce que mon fils découvre une petite pipe avec de la poudre blanche. Résultat de la découverte: mon mari infidèle revient avec de ses amis que je ne connais pas, qui me tabassent en présence de notre fils. Il léve son majeur et me dit:- Je t’ai détesté, méprisé, je te haïs. J’ai l’oreille interne détruite, des hématomes sur tout le corps. Je suis en incapacité de travail durant un mois. Je demande le divorce avant la fin du mois d’août.

    A la rentrée des classe de la petite maternelle de Bordeaux, je consulte les dessins de mon fils avec la directrice. Ce ne sont que des hommes, dont il dessine le sexe d’un trait. Une semaine aprés, l’école sera cambriolée… et les dessins de mon fils ont disparu. La semaine suivante, Alain viendra consulter le dossier… vide !

    Je ne dois rien posséder et me détacher de tout. Je dois être pauvre. Je n’existe pas, plus. Alain fait croire que je le bat, qu’il a peur de moi, il me vouvoie et arrive devant des magistrats l’air trés humble.La plainte à l’encontre des agresseurs sera classée… sans suites. Les magistrats écriront :- « Qui prouve que Madame Poupard ne se serait pas agressé elle même ? »

    NO COMMENT.







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  • Commentaires

    1
    Lundi 1er Février 2010 à 12:47

    Patricia,


    J’ai découvert sur le site de FNCV avec le lien Internet


     


    Fédération Nationale des Combattants Volontaires. Le blog des volontaires d'hier, d'aujourd'hui et ceux de demain...
    Site :



    Cette information, du point 5 du lien ci-dessus notamment, concerne une affaire qui mérite d’être divulguée partout dans le Monde, faite-le. J’en arrive même à penser que si la liberté d’Internet existe, il n’y a que la divulgation au grand-public, des crimes avec preuves, qui peut nous permettre d’en finir avec l’holocauste des temps modernes..


    Pour ce que je sais de la maman et des 3 enfants, tout ce que dénonce la gendarme est malheureusement vrai ! TANT QUE LES PREUVES EXISTENT, je crois que c’est en dénonçant le présent, que nous pourrons redéfinir le Droit, et ouvrir COMME IL SE DOIT les affaires qui sont cachées par les réseaux de l’infamie.


    Faite passer ce message aux députés, aux sénateurs, aux rédacteurs des journaux et à toutes les personnes qui ont le pouvoir. Il y en aura à coup sur, qui, avec nous, grâce au courage d’une gendarme et de fncv, vont nous permettre de faire bouger les institutions.


    Encore un grand merci à cette gendarme (une femme semble-t-il…, victime ?) On voit bien qu’elle risque sa vie. On a le devoir de l’aider pour que ça compte, comme dit la chanson, pour plus que « pour des prunes »


    Plus que jamais, Je suis avec vous, Patricia


    Zoé


     


    http://infos.fncv.com/post/2009/04/17/Cyber-gendarmes-contre-cyber-predateurs-pedophiles

    les déclarations d’une gendarme courageuse.


    Grouper les hommes et les femmes qui volontairement ont offert leur vie pour sauvegarder les droits et la liberté de leur patrie en sacrifiant leur intérêt personnel à l’intérêt général. »www.fncv.com
    Contact :
    info@fncv.com
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